Ce vendredi 5 mai, quatre mois après le début des travaux, est inauguré le nouveau parking de covoiturage de Terres de Montaigu, situé aux abords de l’A83 à proximité de la barrière de Montaigu (n°4), en présence de Florent Limouzin, président de la commission Environnement, mobilités et cycle de l’eau de la Communauté d’agglomération Terres de Montaigu, de Raphaël Martin, Directeur d’exploitation Ouest de VINCI Autoroutes.
Fruit d’une étroite collaboration entre VINCI Autoroutes et la Communauté d’agglomération Terres de Montaigu pour répondre à l’évolution des modes de déplacements, cette nouvelle infrastructure de service d’une capacité de 100 places de stationnement gratuit propose une solution efficace pour inciter le développement de la mobilité partagée sur ce territoire et contribuer à décarboner les déplacements du quotidien. Le projet d’un montant de 359 818,20 HT est financé à 70% par VINCI Autoroutes et 30 % par la Communauté d’agglomération Terres de Montaigu. Il s’inscrit dans le déploiement du Plan d’investissement autoroutier signé entre l’Etat et VINCI Autoroutes. Cette infrastructure, qui répond aux nouveaux usages de la route, offrira aux covoitureurs 100 places gratuites, dont 3 dédiées aux personnes à mobilité réduite. Elle offrira un dépose-minute, 3 emplacements dédiés aux deux-roues et des arceaux pour le vélo.
« Avec 9 déplacements sur 10 effectués sur la route, cette dernière représente le principal mode de déplacement des Français. L’infrastructure autoroutière, parce qu’elle irrigue finement les territoires et se connecte aux réseaux routiers des agglomérations, joue un rôle moteur dans le développement du covoiturage, à condition d’offrir aux automobilistes la possibilité de se garer facilement et gratuitement pour covoiturer. » Raphaël Martin, Directeur d’Exploitation Ouest, VINCI Autoroutes.
Le parking de covoiturage de Terres de Montaigu : 100 places au service de la mobilité partagée
Situés à proximité de grandes villes, les parkings de covoiturage VINCI Autoroutes accompagnent les nouvelles habitudes de mobilité. Celui de Terres de Montaigu est situé en direction de Nantes, La Roche-Sur-Yon et Les Sables d’Olonne. Cet emplacement stratégique répond ainsi à une demande croissante des automobilistes qui souhaitent covoiturer, que ce soit dans le cadre de leurs trajets domicile-travail ou de loisirs.
« L’aménagement de cette aire de covoiturage, la 13è sur le territoire, répond à l’engagement de développer la mobilité partagée, que nous avons pris dans le cadre de notre plan climat Terres d’énAIRgie », précise Florent Limouzin, président de la commission Environnement, mobilités et cycle de l’eau de la Communauté d’agglomération Terres de Montaigu. Ce service est attendu depuis longtemps. Il répond aux besoins actuels des covoitureurs de disposer d’un espace de stationnement sécurisant et sécurisé et accompagne le développement du covoiturage, notamment pour les trajets domicile-travail pour des raisons économiques et environnementales. »
Accompagner les nouvelles pratiques de mobilité
Engagé dans le développement des mobilités partagées, ce nouveau parking de covoiturage s’inscrit dans le cadre de la stratégie d’Autoroute Bas Carbone déployée par VINCI Autoroutes pour contribuer activement à décarboner les transports routiers. Le parking de covoiturage des Terres de Montaigu est ainsi le 48ème inauguré sur le réseau VINCI Autoroutes et porte à près de 4 000 le nombre de places gratuites disponibles et dédiées sur l’ensemble de notre réseau, précise Raphaël Martin.
Le plan d’investissement autoroutier prévoit la création d’environ 40 nouveaux parkings de covoiturage, en collaboration avec les collectivités territoriales : le parking de covoiturage de Terres de Montaigu est l’un d’entre eux.
Une réutilisation vertueuse des sols
Ce nouveau parking a vu le jour sur une zone initialement dédiée à l’exploitation autoroutière. Celle-ci n’étant plus utilisée, elle était prête à être transformée et réaménagée. Ainsi, cette réutilisation a plusieurs vertus : s’appuyer sur les surfaces existantes, réduire le ratio de construction et enfin, limiter l’impact carbone.