Permis de conduire Permis de conduire, les changements en 2024: D’importantes évolutions attendent les candidats au permis de conduire en 2024, avec la réduction de l’âge requis à 17 ans. L’intégralité des démarches relatives à l’obtention de ce document essentiel sont centralisées sur le site https://permisdeconduire.ants.gouv.fr/. Cette plateforme assure une gestion centralisée efficace des procédures, incluant la déclaration de perte ou de vol du permis de conduire, la consultation de l’avancement du dossier, ainsi que la vérification du solde de points, entre autres. À partir de janvier 2024, l’accès à l’examen du permis de conduire sera ouvert dès l’âge de 17 ans en France. Cette initiative vise à faciliter la mobilité des jeunes, en particulier ceux résidant en zone rurale, pour renforcer leur accès à l’emploi. Cette mesure s’appliquera de manière générale à tous les candidats au permis de conduire, qu’ils soient inscrits dans une auto-école traditionnelle, qu’ils optent pour le passage en candidat libre, ou qu’ils privilégient une auto-école en ligne. Dans ce dernier cas, l’auto-école en ligne mettra à disposition les informations nécessaires pour l’examen du code de la route via le numéro NEPH. Les jeunes impliqués dans l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC), également connu sous le nom de conduite accompagnée, auront dorénavant la possibilité de passer l’épreuve pratique du permis de conduire dès l’âge de 17 ans. Cette modification permettra à tous les candidats, qu’ils optent pour la conduite accompagnée ou non, de profiter de cette opportunité à partir de 2024, sans nécessité d’attendre la majorité pour conduire individuellement après la réussite de l’examen. Accueil particuliers > Social - Santé > Préjudice médical > Préjudice lié au fonctionnement d'un hôpital ou d'une clinique Fiche pratique Préjudice lié au fonctionnement d'un hôpital ou d'une clinique Vérifié le 15/04/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre) La possibilité d'utiliser la procédure de règlement amiable pour un préjudice en matière de santé ne prive pas la victime d'un recours au tribunal. Selon la nature de l'établissement (public ou privé), le juge administratif ou le juge civil sera compétent. En cas de faute grave, la victime peut saisir le tribunal pénal. Public Privé Les établissements publics sont notamment les centres hospitaliers régionaux universitaires (CHRU), les centres hospitaliers (CH), les centres hospitaliers spécialisés en psychiatrie et les hôpitaux d'instruction des armées (HIA). Tout replier Tout déplier Actes concernés Vous pouvez faire un recours devant le tribunal si vous avez un conflit portant sur l'une des situations suivantes : Soins ou prévention Accidents de diagnostic Demande d'indemnisation à l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) Affection iatrogène Infections nosocomiales À notervotre droit d'engager des poursuites administratives s'arrête 10 ans à compter de la date de consolidation du dommage. Commission des usagers En cas de litige mettant en cause la politique d'accueil et de prise en charge des malades, il est possible de saisir la commission des usagers (CDU). Elle est présente dans chaque établissement. Commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CCI) Vous pouvez aussi saisir la commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CCI) si vous êtes victime d'une des situations suivantes : Accident médical Affection iatrogène Infection nosocomiale Saisine du tribunal En cas de faute ayant entraîné blessures ou décès du patient, il est possible de porter plainte devant le Procureur de la République et de se porter partie civile devant le tribunal correctionnel. L'acte médical de la personne ou de l'établissement (public ou privé) mis en cause doit présenter une gravité : tromperie, exercice illégal de la médecine, blessure ou homicide involontaire, ... Refus de l'établissement Si l'établissement public répond négativement, le tribunal administratif doit être saisi par courrier dans les 2 mois qui suivent cette réponse négative.L'assistance d'un avocat est généralement obligatoire. Absence de réponse de l'établissement Si l'établissement public ne répond pas dans les 2 mois, le tribunal administratif doit être saisi par courrier dans un délai de 2 mois à compter de ce refus implicite.L'assistance d'un avocat est généralement obligatoire. À notercette démarche a pour but de demander la condamnation pénale du praticien ou de l'établissement de santé.Pour un délit, le délai pour saisir les juridictions pénales est de 6 ans à compter de l'acte médical en cause. Le point de départ du délai peut cependant être repoussé à la date du décès de la victime, par exemple. Les établissements privés sont notamment les établissements de santé privés à but non lucratif, les centres de lutte contre le cancer, les établissements à but lucratif (cliniques). Tout replier Tout déplier Actes concernés Vous pouvez faire un recours devant le tribunal si vous avez un conflit portant sur l'une des situations suivantes : Soins ou prévention Accidents de diagnostic Demande d'indemnisation à l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) Affection iatrogène Infections nosocomiales À notervotre droit d'engager des poursuites judiciaires s'éteint 10 ans à compter de la date de consolidation du dommage. Commission des usagers En cas de litige mettant en cause la politique d'accueil et de prise en charge des malades, il est possible de saisir la commission des usagers (CDU). Elle est présente dans chaque établissement. Commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CCI) Vous pouvez aussi saisir la commission de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CCI) si vous êtes victime d'une des situations suivantes : Accident médical Affection iatrogène Infection nosocomiale Tribunal compétent Le tribunal judiciaire est compétent pour les demandes de dommages-intérêts. L'assistance d'un avocat est obligatoire. Saisine du tribunal Avant de porter l'affaire devant un tribunal, il faut tout d'abord adresser une demande d'indemnisation au directeur de l'hôpital par lettre recommandée avec accusé de réception. Elle relate les circonstances de l'intervention médicale et le préjudice subi.Si la direction de l'établissement ne suit pas les recommandations de la commission ou n'en tient pas compte vous pouvez, alors, vous adresser au tribunal.En cas de faute ayant entraîné blessures ou décès du patient, il est possible de porter plainte devant le Procureur de la République et de se porter partie civile devant le tribunal correctionnel. L'acte médical de la personne ou de l'établissement (public ou privé) mis en cause doit présenter une gravité : tromperie, exercice illégal de la médecine, blessure ou homicide involontaire, ... À notercette démarche a pour but de demander la condamnation pénale du praticien ou de l'établissement de santé.Pour un délit, le délai pour saisir les juridictions pénales est de 6 ans à compter de l'acte médical en cause. Le point de départ du délai peut cependant être repoussé à la date du décès de la victime, par exemple. Textes de référence Code de la santé publique : article L1142-28 Prescription en matière de responsabilité médicale Code des relations entre le public et l'administration : articles L231-4 à L231-5 Exception au silence gardé vaut acceptation (article L231-4) Code de procédure pénale : article 8 Prescription pénale Code de procédure pénale : articles 749 à 762 Assistance d'un avocat (article 760) Pour en savoir plus Site de l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) Présentation des établissements de santé privés Fédération hospitalière de France Présentation des établissements publics de santé Fédération hospitalière de France Défenseur des droits (usagers) : votre santé, vos droits Défenseur des droits Les voies de recours en cas de dommages liés aux soins Défenseur des droits